On ne peut certes nier que l’attitude tactique certainement justifiée des dirigeants de SFPE, conseillée d’ailleurs par Javal, ait limité les dégâts, mais l’affaire Dreyfus a empoisonné le climat qui, sans ça, aurait pu être plus favorable à une ouverture à d’autres façons de penser ou de.. prier.
Le rejet de la strophe citée va dans le même sens : le climat était tel que tout le monde se repliait sur soi, et un tel climat n’est pas favorable à une idée telle que l’espéranto. Sans l’affaire Dreyfus, sa dynamique aurait certainement été plus spectaculaire.