« il n’ouvre pas à l’autre et à l’altérité, comme peut le faire une vrai langue reflet de la mentalité d’un peuple, avec sa litérature, sa philosophie, son droit, etc. »
Adolphos, vous récidivez ! Encore de l’ignorance Vous avez essayé de connaître l’autre dans son altérité grâce à l’espéranto ? Non ? Alors pas de conclusions hâtives. Par ailleurs, dites-moi dans combien de langues arrivez-vous à lire les romans (en VO, je le souligne). M’est avis que vous êtes fâché même avec l’orthographe français