Abelard, ce que j’ai appelle l’harmonie populiste avec mes propres mots, c’est ce qui fait que, comme dans un orchestre, des instruments, des personnes d’horizons diverses, dans la richesse d’ expériences et de vécus multiples, s’accordent et jouent une même musique dans l’unité. Or, l’oligarque Mélanchon radote son disque rayé. C’est diviser le peuple pour régner en se focalisant sur les divergences plutôt que de mettre en avant ce qui rapproche le peuple et fait avancer. Il n’y pas d’homme providentiel. Le gourou Mélanchon n’est pas le sauveur du peuple.