Subventionner n’est sans doute pas la meilleure solution. En connaissez vous de meilleure ?? Il faut être pragmatique c’est soit cette solution soit, la disparition d’un pan important de la presse écrite. Ne pourrait-il y avoir une exception de la presse écrite française comme il existe une exception culturelle. Que serait le cinéma français aujourd’hui sans l’importance des mécanismes d’aide publiques ?? Est-il pour autant moins libre ? je ne partage pas la ligne éditoriale de l’huma mais j’aime encore moins la pensée unique, qui plus est, uniquement marchande.