Oui, njama, si jeune et déjà il avait conscience de ce qu’il fallait réformer au Tibet. Je pense qu’il a toujours été, aidé en cela par l’éducation très pointue et très poussée qu’il a reçue, quelqu’un d’extrêmement intelligent et fin.
Lisez son autobiographie, vous constaterez que l’homme en question est loin, très loin d’être un imbécile.
Si je possédais seulement le tiers du quart de son savoir (dans des domaines très divers et variés), je m’estimerais déjà heureuse.