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El Nasl El Nasl 24 mai 2012 17:18

 Approuver les propos d’un  Michel godet  ( il est administrateur du groupe Bongrain et administrateur d ’AGPI) définit l’idéologie défendue par l’auteur ...

  hotesse de caisse , agents d’entretien , saisonniers ,service à la personne , etc sont probablement les derniers boulots non mécanisés/automatisés disponibles et très utiles à nos collectivités mais payés au lance pierre . Quand ces boulots seront intégralement pris en charge par des automates ou robots mobiles de services , les personnes seront jetées à la rue et traitées comme des moins que rien .
 il ya quelque chose d’essentiel à comprendre , dans nos pays riches 99 % de la richesse créee , du niveau de vie auquel nous avons accès est le fait des esclaves energétiques ( couple energie + machine ) . Les seules contraintes imposées au cadre dans lequel nous vivons , donc aussi sur ce qui est produit et consommé , est la contrainte environnementale et la contrainte energétique . Ainsi il n’y a pas un problème de création de richesse , mais il y a un problème de concentration des richesses . Je remets ce lien pour bien que les lecteurs comprennent à quel type de prédateurs la majorité des vrais travailleurs doit faire face .

 Pourquoi je claque la porte du medef . 

Le Medef de Laurence Parisot nous parle d’un monde qui n’existe pas. Il nous parle de gens trop payés, d’un État qui a trop de recettes fiscales, il fait un certain nombre d’observations économiques qui sont totalement à côté de la plaque. Je me souviens d’une réunion, au mois de novembre 2008, sur la protection sociale, où les patrons présents se sont livrés à un exercice de comparaison de leurs retraites chapeau. Ce jour-là, on avait sorti un listing avec les 500 plus grosses retraites chapeau de France, et la seule question qui se posait, c’était  : qui est dans le top 100  ? La réalité de la France, aujourd’hui, la voilà  : d’un côté, des salariés qui ont envie que ça marche, et de l’autre, un certain nombre de patrons dont la première préoccupation en temps de crise est de vérifier qu’ils sont mieux payés que les autres. J’appelle ça le syndrome 10 mai 1940  : en pleine tourmente, l’obsession de l’état-major est de s’occuper de ses prébendes. Est-ce que mes mots sont durs  ? Oui, ils le sont, mais parce que la réalité l’est  !

 
 

   


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