Dans sa posture hautaine de « moralisatrice », madame Lagarde a tout du robot. Déclarations pré-digérées systémiques et des réactions ressemblant étrangement aux mouvements saccadés des automates.
Lorsqu’on en arrive à ce stade de négation de la réalité et des faits, que l’on continue malgré tout à défendre l’indéfendable, à stygmatiser les peuples qui souffrent, que peut-il bien rester d’humain à ce genre d’individu ?
Elle me fait penser à Margaret Tatcher, surnommée par les « victimes » anglaises de sa politique abominable, Iron-Woman.
Cdt.