Je lisais que jusqu’aux Etats-Unis, les chercheurs étaient choqués de la fermeture du centre de Reims consacré au cancer, tant les équipes ont bonne réputation.
Parmi d’autres : le site de Serono en Suisse (Merck). Plus discutable, car lorsque Merck a acheté Serono, c’était une coquille vide dont la seule valeur tenait aux accord qu’elle avait passé avec d’autres biotechs. A moins d’un miracle, la fermeture avait quelque chose d’inéluctable. C’est sans doute ce qui avait poussé Bertarelli à vendre.
Quant au site de Novartis à Nyon a été sauvé par la pression de la rue, et les menace de boycott par les médecins (pour le coup assez bête de leur part : les médicaments de Novartis sont des incontournables).