il faut savoir que tous les pratiquants juifs donnent, au minimum, deux prénoms à leurs enfants, le premier étant représentatif du pays où l’enfant est né ; par exemple pierre ou paul en france, jhonn ou patrick dans un pays anglo-saxon ; le second prénom est toujours hébraïque et c’est ce prénom seul qui prévaut lors de séjours ou d’installation en Israël.
un bémol : si le premier prénom est déjà d’origine hébraïque ( parce que beaucoup sont puisés dans la Bible, livre sacré de tous les chrétiens ) alors il vaut en première place et pas besoin d’un deuxième prénom sauf à faire plaisir à la famille.
cette information m’a été donnée en 1984 par une collègue de travail