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le thorium que l’on voudrait nous faire croire sans danger n’est pas si sur.
extrait d’un article en préparation
Le
professeur Robert Cywinksi, de
l’université d’Huddersfield affirme « le thorium peut être bombardé de
neutrons pour produire une fission, mais sans que cela crée une réaction en
chaîne. La fission cesse dès que l’on arrête le rayon de photons ».
Sur
le principe, on comprend donc que la réaction devrait s’arrêter d’elle-même en
cas d’accident.
Des
physiciens se sont penchés sur la filière Thorium, et ils démontrent toute la
complexité de cette technologie, pour laquelle ils dénoncent un manque
d’expérience.
Si
dans les années 70, le Canada et l’Inde, qui avaient adopté la filière eau
lourde/uranium naturel, ont étudié le remplacement de l’uranium par le Thorium dans
leurs réacteurs « Candu », ils ont vite abandonné cette piste, en
évoquant que les « temps de doublement » ont été jugés trop longs en
comparaison avec ceux des réacteurs rapides.
Il
y a bien eu, à Oak Ridge en 1965 un prototype mis en œuvre, mais ces physiciens
pensent que le cycle Thorium manque cruellement
des « quelques 5 décennies de recherche et de développement dont à
bénéficié le cycle uranium ». Lien
En
fait ce type de centrale ajoute au risque nucléaire, le risque chimique.