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En réponse à :

Arthur (---.---.113.220) 27 juillet 2006 14:03

Un peu n’importe quoi cet article. Quelle prétention de la part de l’auteur, de ses Ipods,etc... et quel mépris pour le ’petit peuple’ qui ne prend l’avion que l’été...

Horrible...

Comme lui je prends l’avion très souvent (une quarantaine de fois par an) et c’est toujours un plaisir.

Et en ce qui concerne l’A320, la perte (ou la coupure) d’un moteur est un évènement sans gravité. Sachez que les pilotes n’ont rien à voir dans le maintien d’une trajectoire normale en cas de poussée dyssymétrique. Ce sont les commandes de vol électriques qui s’en chargent.

On ne peut probablement dans le cas que cite l’auteur que regretter un défaut de communication d’Air France durant l’évènement (i.e., de la part du cockpit). Le caractère véhément de l’article montre tout le côté émotif, et bien normal, de ce genre de situation, et ils doivent être bien gérés, par une communication saine aux passagers. J’ai eu l’occasion de me trouver dans une situation analogue et le commandant de bord nous a annoncé que nous revenions à Bruxelles (d’où nous étions parti) à cause d’un fissurage du pare-brise, du à un choc thermique, et que c’était sans gravité. Il n’est parfois pas inutile d’être précis sur la nature du problème. Ca lève le doute sur ce qui se passe - ou pourrais se passer. Nous avons eu droit également au camion de pompier, c’est une procédure normale. Encore une fois, tout ça peut paraître un peu effrayant, et doit être modéré par une bonne communication de l’équipage.

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