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louphi 22 juin 2012 09:57

Danielle2

Vous avez raison sur un point. François Hollande a jusqu’à présent le mérite de vouloir se battre contre les prédateurs du monde de la finance, en admettant qu’il a cette volonté. Je m’en réjouirais car j’adhère totalement à son discours du Bourget où il a posé le bon diagnostic de la crise et le bon angle d’attaque pour la résoudre. Mais malheureusement certaines de ses orientations vont à contre-sens notamment en politique étrangère. Par exemple sur la Syrie et l’Iran, Hollande et son entourage épousent les mêmes positions arrogantes et belliqueuses que Sarkhozy, Merkel ; Cameron, Obama, Koffi Anan, Ban kimoun, etc. Or, ces derniers ne sont que les bras armés à la solde des empereurs occultes du capitalisme mondial que Hollande avait dénoncé à juste titre au Bourget, lesquels empereurs fomentent dans l’ombre les crises financières et les guerres meurtrières et ravageuses dans le monde entier contre les Etats et de leurs peuples pour s’emparer ainsi de leurs moyens de subsistance. Ainsi, Hollande entérine les orientations atlantistes du pétainiste Nicolas Sarkozy. Ce faisant, en tant que président de la république française, François Hollande risque de se condamner à la médiocrité comme son piètre prédécesseur, serviteur maçonnique zélé, arriviste et traître fier,  Paul Stéphane Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa.

Vous citez l’adage populaire qui dit que la critique est aisée et l’art est difficile. Mais à bien y réfléchir, je dirais plutôt que l’art est aisé et la critique, la vraie critique, la critique objective, sereine, dépassionnée, est plus difficile que l’art car c’est cette critique-là qui permet à l’art de trouver la bonne manière de se déployer.


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