Asselineau, toujours dans l’excés :
"Bien entendu, les médias, toujours prêts à relayer n’importe quelle
absurdité pour enfumer les Français dès lors qu’il s’agit de conforter
la propagande européiste, n’avaient rien trouvé à redire. Pas la moindre
analyse critique sur cette idée « d’euro-bonds » ne fut portée à la
connaissance du grand public."
C’est même l’inverse, à chaque fois les journalistes se sont montrés dubitatifs sur cette mesure, comment imposer à Madame Merkel une proposition que le fringuant Sarkozy avait essayait en vain de mettre en œuvre.