@Jorge,
Je partage votre colère. Je ressens la même frustration face à cette
entreprise de démolition. Comme vous, je ne souhaite pas la violence, mais c’est vrai que nous n’en sommes même plus à sauver les meubles, juste à tenter de reconquérir notre humanité, à dire que nous existons, que nous ne sommes pas des objets que l’on prend ou jette selon les circonstances.