Ah ! C’est Nabum, vous finirez bien par rendre fou de Loire un pauvre fils de Garonne et d’Adour ! Cette matelotte cosmique qui n’échoue qu’à un cheveu (le fil de l’eau ?) commençait à me mettre en (pervers) appétit... Et puis évoquer ainsi l’Alose... ce poisson aussi poétique qu’esthétique et gastronomique. Ce poisson de pauvre,si bien défendu contre toute goinfrerie,qui ne lui est désormais plus accessible sans gros sacrifice (mais ne les mérite-t-il pas, avec une respectueuse dévotion ?), je crois bien que je en rêver...