« Et que pensez-vous des pencartes où il y a marqué je suis un violeur que les violeurs sont obligés de porter à l’entrée des magasins ou dans d’autres lieux publics aux Etats-Unis »
Je ne sais pas... avec l’idée discutable de films pornos forcés, le violeur vivrait lui-même ce qu’il a imposé à l’autre : un rapport sexuel forcé. Avec les pancartes, il subit la honte en public. Je ne sais pas lequel des deux a le plus de chances de le dissuader de recommencer, et de dissuader les autres de le faire. Ca dépend peut-être des gens.