rectificatif : l’ADN mitochondrial sera toujours d’origine maternelle (disons : féminine) mais restera-t-il longtemps un marqueur de la génétique des populations, plus précisément des migrations (manipulations du génie de la reproduction)
Nous savons très peu sur le stockage des informations dans le cerveau (on devine un peu à force) sous forme de mémoire en adressage espace/temps qui EST mémoire, compression, distorsion, fouillis parfois (j’ai l’habitude d’observer les noms propres qui m’échappent sans un effort de « mise en perspective » et de constater qu’un homonyme a rendu le plus ancien moins « original » - et vice versa sans doute - il suffit ensuite de laisser flotter son esprit pour qu’il s’impose et retrouve un peu de ses couleurs originelles).
Là, vous nous proposez d’observer un support possible : on n’est plus sur du logiciel mais sur du matériel. Et ceci s’impose ou se détecte ou se soupçonne. Et effectivement, ce premier de tous les systèmes de conservation de l’information (répicable à l’infini) doit bien cacher quelques mystères de cet ordre qui ressemble à de la conscience...
On va finir par progresser dans cette voie.