L’exemple des trottoirs est bien choisi. J’ai appris avec les Indignés de Londres que la plupart des trottoirs de Londres sont privatisés, ou du moins n’appartiennent plus à l’état, ce qui veux dire qu’il est interdire de manifester sur ces trottoirs-là. Il n’est pas nécessaire d’adopter des lois pour réprimer la liberté d’expression dans des endroits publics, juste de vendre les trottoirs. Le parfait exemple est que les Indignés voulaient manifester initialement devant la bourse de Londres, sur la place Paternoster qui appartient à Mitsubishi, ce qui explique pourquoi ils ont été repoussés sur le parvis de St Paul.