@pyjahman
Ma foi, la régénération cellulaire fonctionne aussi pour l’humain, mais de manière compté, ici, c’est dire que cette régénération n’est pas compté, mais nous sommes bien d’accord qu’elle est immortelle en tant que méduse, mais pas en tant qu’être relationné aux autres êtres vivants et aux conditions de son environnement. La relation de causalité entre la vie et la mort n’est pas supprimé, elle a une relation différente, disons décalé.
De plus on peut poser la question suivant ; elles sont certes capable de se régénérer indéfiniment, mais peuvent t-elles évoluer ?
Si tant est qu’un prédateur menace l’espèce, ou des conditions environnementales évoluant différemment, si celle ci ne peut évoluer, pourrait bien en payer le prix de son extinction plus sûrement qu’une autre espèce.
Bien entendu, vous pouvez faire le pari que l’humain, en super prédateur terrestre et avec une super technologie, saura toujours dominer ses prédateurs et menaces environnementale. Pourrait t-il évoluer ? Je ne le crois pas, l’exception, c’est d’être immortel.
Peut être que ces humains ayant produits et achetés cette immortalité, auraient dans l’idée de provoquer une guerre nucléaire, pensant pourvoir êtres les géniteurs d’une nouvelle histoire où une poignée ’d’élus" (coopté entre même classe), règnerait sur une descendance choisi et contrôlé.
Mais je ne crois pas que, quelle que soit l’imagination, elle puisse éviter le néant, c’est à dire, la perte de sens de sa propre existence, sauf à se faire comme le Bouddha, spectateur de la relation de causalité entre la vie et la mort. Et là on s’aperçoit, qu’ayant fait le tour, nous revenons à la réalité présente !
Quand à changer de paradigme une nouvelle fois, la question posé par l’immortalité est concurrente de celle posé par la conquête spatiale, la vie extra terrestre, ou la destruction de l biodiversité que le type de société avec son mode de gouvernance et d’économie et même Dieu. En d’autres termes, le changement de paradigme contient toutes ces questions avec les réponses à leur donner.
Il faut changer de paradigme parce que les conditions de vies ont changés de telle sorte que ce qui avant était somme toute logique, est aujourd’hui en contradiction avec ce qui est nécessaires pour vivre. C’est ce qui fait prendre conscience de la nécessité de changer de paradigme, donc de chaîne de relations causales.
En fait, ce qui caractérise le plus un changement de dimension, c’est le principe de transition paradoxale. La Terre apparaissait comme illimité, elle est devenu toute petite. Le ciel apparaissait infiniment petit, il est infiniment grand. Le temps semblait immuable et se comptait en quelques centaines, il se compte un milliards. La vie s’écoulait lentement, elle s’écoule à la vitesse de la lumière. Etc...