A priori, les premiers résultats n’indiquent pas de découvertes majeurs qui changeraient les connaissances sur la modélisation climatique. Pourquoi préjuger ? A part pour tromper ?
Et éviter de reprendre des phrases à la con dites par un ou deux individus et de les mettre dans la bouche de tous les scientifiques qui pensent que l’influence des GES est plus que probable. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail.