« ...celle des perturbations provoquées par les mouvements anarchiques des taux de change... ».
La Banque nationale suisse (qui n’est pas dirigée par des néophytes en matière de finance) intervient d’ailleurs depuis une année sur le marché des devises pour éviter ces perturbations. A voir la santé de cette économie (comparée à la décrépitude des économies européennes), il semblerait que cette solution ne soit pas si mauvaise.