Ok, des islamistes combattent pour se politiser, à priori dans un objectif de démocratie. Le monopole de la violence de Bachar El Assad est maintenant fortement contesté depuis le printemps 2011. Historiquement, ceux sont les occidentaux qui ont favorisé le développement de l’islamisme (CIA et Ben Laden), puis s’en mordant les doigts. Simple retour aux sources...
Excusez-moi l’expression, mais le merdier syrien ne cessera que lors de la chute de Assad, sauf à considérer une révolution avortée comme en Algérie dans les années 90, mais je n’y crois pas trop.