« Une réforme pour l’Europe : redonner aux états ce qui revient aux états , et ne laisser au privé que ce qui revient au privé ! »
Par définition, ce que l’on appelle « l’Europe », c’est précisément le contraire. La « construction européenne » ne veut pas des actuels Etats, et ses véritables citoyens sont les multinationales et les financiers. Il suffit de lire le Traité Constitutionnel qu’on nous a proposé il y a un an.