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En réponse à :

pigripi pigripi 13 août 2012 21:33

J’ai l’impression que personne, y compris les journalistes et a fortiori les politiques, ne sait très bien qui sont les roms ou les rroms voire « des » roumains.


Par contre tout le monde sait parfaitement de quelle population on parle quel que soit son nom.
Il s’agit de gens bronzés, aux cheveux noirs, de taille moyenne à petite. Les femmes portent de longues jupes, souvent des cheveux longs sous un fichu. Les enfants traînent dans les rues, souvent en groupe et on peut les voir rôder autour des cafés et des terrasses des restaurants. Parfois, de très jeunes enfants de 5 ou 6 ans, tournent autour des tables pour attirer l’attention des consommateurs qui les prennent en pitié avant de réaliser que la mère est quelque part en embuscade attendant le fruit du larcin de son infans.

Souvent des adultes, plutôt des femmes, sont installés à même le sol tenant un grand enfant dans les bras, parfois recroquevillé sous un fichu pour paraître plus petit. Ils s’installent à l’entrée des boulangeries, des bureaux de poste, des gares ou des épiceries. Ils brandissent un écriteau sur lequel on peut lire : « mon mari est à l’opitale, je vi dan la rue, mé enfant on fin » ou alors ils apostrophent systématiquement tous les passants « un pétite pièce pour manger » en se donnant un air pathétique qui maintenant n’attendrit plus personne.

Dans le métro, ils sont souvent arrêtés pour vol à la tire mais comme ils n’ont sur eux ni papiers et qu’ils semblent mineurs, la police les relâche et ils recommencent tout de suite. Les commissariats de quartier les connaissent bien car ils les ont arrêtés et relâchés des dizaines de fois. Ils n’ont ni moyens ni consignes claires pour faire face à cette délinquance.

Ces gens vivent généralement dans des camps de caravanes, en groupe aux confins des métropoles.
µCeux qui ne mendient pas pillent les églises, cambriolent les appartements et détruisent les équipements de la SNCF pour récupérer les câbles en cuivre afin de les revendre, ce qui cause des accidents,des retards de trains et des dépenses supplémentaires payées par le contribuable et le voyageur.

Quand ils sont expulsés, ils reviennent aussitôt car même dans des camps insalubres, il semble que les Français les traitent mieux que les Roumains, les Bulgares ou les Hongrois.

Ces gens, quel que soit leur nom, n’ont rien à voir avec les Roumains qui viennent vivre en France, sont cultivés, éduqués, parlent très bien le français et sont parfaitement assimilés aux us et coutumes des Français.
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