Ce coup-ci nous avons un dossier qui démontre que le décret est sorti sous la sollicitation de l’association I-test dont le président est, comme par hasard, chargé de mission chez Contralco, un des fabricants d’éthylotests ! Le décret peut donc être contesté en tant qu’abus de pouvoir à fin de ventes forcées, ce qui se plaide...
La jurisprudence dira qui a raison mais j’en connais pas mal qui ne s’équiperont pas et attendent la contravention. Actuellement le gouvernement tergiverse... Il a donné ordre au gendarmes d’attendre un peu avant de verbaliser formellement, preuve qu’il n’est plus très sûr de son coup !