Méa culpa, j’avais oublié d’intégrer le nucléaire
Et du journalisme si moyen
Cabanel en vit la fin
Son escroquerie verte
Le mena à sa perte
Du scandale des mayas
A la fermeture de Fukushima
Du photovoltaïque à l’éolien
Il persistait sur son chemin
En guerre contre le tgv
Luttant contre la modernité
Grâce au nucléaire
Il finit le cul par terre
Les morts annoncés
N’ont jamais trépassé
Il avait tort de s’acharner
Sur la nature qui le contrariait
Même le climat riait de lui
Alors qu’il clamait que c’était cuit
Ses disciples en ont eu marre
De tout son tintamarre
Composant enfin des vers
Il sortit de la galère
Plus d’unités, plus de mesures
Il arrêta même la censure
Plus d’erreurs, plus de peurs
Il arrêta d’écrire des horreurs
Et au lieu de publier des âneries
Il écrivit des poésies
Je vous autorise à l’inclure dans votre biographie... De rien