Effectivement texte hyper-chocant qui mérite 200 ans de goulag.
Ah mais monsieur diront certaines bonnes âmes : et le poulet ? Avez-vous pensé à la souffrance du poulet ? Mme Bardot elle-même s’en est émue ! Quoi comment peut-on faire souffrir un poulet à tel point ? Ah bon il était mort, bon alors circulez.