Paul,
Pourquoi la Grèce ? Parce qu’elle est la plus fragile.
Où est l’intérêt des marchés ? Ça c’est la question principale.
L’Europe est aussi un maillon faible.
En Bourse, ce qui est le plus stressant, c’est de manquer de clarté.
Alors, que fait-on ?
Un jour, on achète et les courbes montent.
Quand elles ont atteint le point de rupture, on vend et on prend le bénef.
Faut demander aux boursicoteurs, beaucoup de particuliers se réunissent pour fixer les « bons » moments.
Après, aux échéances, ils font les comptes. Parfois, ils sont dans le bon, parfois en perte.
Pas de martingale.