@auteur :
"Le temps n’est plus aux réformettes du système économique en
décrépitude, ni aux « accommodements raisonnables » en faveur du peuple
travailleur" : vous avez là bien résumé ce que tout progressiste devrait faire.
Quant au slogan « Ne votez pas, ils sont tous pareils » : regarder ce qui se passe en Espagne, c’est tomber de Charybde en Scylla. Une manifestation, quelle qu’elle soit, sans courroie politique, est vouée à l’échec.
L’offensive néo-libérale est tous azimuts, et la privatisation de l’enseignement, avec comme conséquence une hausse faramineuse de droits d’inscription, en fait partie. Cette politique-là est mondiale : Le Monde Diplomatique de Septembre 2012 contient un article qui mérite d’être lu.