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En réponse à :


manusan 4 septembre 2012 11:02

« Ces sans papier espagnols travaillent depuis longtemps en Espagne et font des travaux que les espagnols ne veulent pas faire. »

N’importe quoi CHALOT, tu connais rien à ce pays.

Les espagnols ont refusé de bosser à 300 euro / mois, les patrons ont ramené des marocains par millions pour faire le taf, MAIS T’ES QUI POUR TRAITER LES ESPAGNOL DE BRANLEURS ? vas bosser à 300 euro à ramasser des fruits et légumes on en reparlera.

Relis Marx bordel, quand tu met un espagnol en compétition salariale avec un marocain c’est terminé, et je te parle même pas des asiatiques qui dévalue leur monnaie. Depuis ça tient par une bulle de crédit monumentale lié à l’euro, mais la fête est terminée, les épargnants et les rentiers-retraité vont passer à la caisse dans toute l’UE, les immigrés ne paieront pas vos retraites, les actifs arrivent à peine à se loger, vous vous êtes fait enfumer.

La gauche est devenu l’idiote utile du capitalisme mondiale, vous n’avez pas le monopole du cœur, vous êtes en grande parti responsable de ce bordel.

citation du dernier vrai politicien de gauche :

Le 6 janvier 1981, L’Humanité publiait la lettre qu’adressait Georges Marchais au recteur de la mosquée de Paris à propos de l’immigration : «  J’approuve le refus de Paul Mercieca de laisser s’accroître dans sa commune le nombre, déjà élevé, d’immigrés ; en raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membre de leurs familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. La cote d’alerte est atteinte […] C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration. Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois des heurts entre immigrés des divers pays. Cela rend difficile leurs relations avec les Français. Quand la concentration devient très importante […] la crise du logement s’aggrave ; les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles immigrées, plongées dans la misère, deviennent insupportables pour les budgets des communes. »

relire ça 30 ans après ça fait réfléchir.


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