A force de nous vendre a , j’allais dire , dieu sait qui et de faire de la sous culture étanusienne une finalité indétronable on a un peu trop vite oublié l« essentiel.
Par simplsme ou vertu du pret a appendre on a transformé nos écoles en fast-brain, vite bouffé vite digéré, vite oublié.
Les experiences menées ces 30 dernieres années en vertu de je ne sais quelle théorie fumeuse, ou la technologie appliquée conduit a un désastre .
L’école ne se conduisant plus comme un moteur et accompagnateur de l’éleve s’ote aussi sa capacité de refuge surtout dans les pérides troublées a venir.
Résultat non seulement déja tangible dans les moeurs mais aussi dans la capacité de projection de nos sociétés.
Effondrement des valeurs, violence, simplsme ne sont plus des caricatures mais bel et bien des postures valorisantes.
Les derniers rapports alarmants de 1 Europeen sur 7 analphabete le serait suffisament si il n’y avait quelqu »un pour le lire.
Je partage tout a fait ce commentaire
« Je pense que les Européens sont tombés dans le même piège que les
Américains. L’idée consistait dans une ségrégation scolaire de la
population. C’est-à-dire, qu’une partie de la population, appartenant à
l’élite, fait ses études dans de bonnes écoles, et les poursuit dans des
Universités d’élite et reçoit une instruction brillante, tandis que la
plupart fréquente des écoles faibles et appartient à la classe moyenne
ou inférieure. Or avec une telle approche les Américains, comme les
Européens, se sont confrontés au problème de diminution de la population
intellectuelle, ce qui se ressent, notamment, sur la croissance
économique. Dans de telles conditions la tension sociale monte ».
Ainsi que la conclusion
Mais aujourd’hui, alors que nous sommes au 21e siècle hautement
technologique, il difficile d’imaginer que l’Europe jadis des lumières
puisse en venir à un tel résultat. Vraiment, il fallait y mettre du
zèle.