Monsieur d’Humières,
Sans vouloir vous offenser, je trouve un peu fallacieux que vous vous exonériez , au début de votre réflexion de - je vous cite - « de toute influence religieuse » mais que vous nous parliez, quelques paragraphes plus loin - je vous cite encore - « du respect sacré des lois naturelles ».
Vous voudrez bien nous expliquer comment le sacré s’affranchit de la religion.