Des études en 2008 (en France) ont démontré que les stations d’épuration n’éliminent pas les résidus de médicaments contenus dans les eaux usagées, ce qui contribue à la pollution des rivières.
Les conséquences de cette pollution sont importantes, des poissons hermaphrodites ou qui changent de sexe, des êtres humains qui résistent aux traitements antibiotiques et, vraisemblablement, d’autres retombées que l’on ne connaît pas encore.
Parmi ces résidus de médicaments, les molécules retrouvées lors des analyses, la molécule que les chercheurs retrouvent le plus est le paracétamol, puis vient l’ibuprofène et enfin toute la gamme des anti-inflammatoires aux antidépresseurs.
Les chercheurs ont même détecté lors de ces analyses des traces de résidus de pilules contraceptives.
Puis la liste des autres polluants est interminable ...
Sur Arte (télévision) est diffuse le mardi, 11 septembre 2012 à 20H50 un reportage portent le titre : Nestlé et le business de l’eau en bouteille
C’est une enquête édifiante sur trois continents qui montre comment la multinationale fait main basse sur les ressources en eau pour les vendre au prix fort.