Ce qui fait les bonnes réformes
c’est quand la classe populaire montre les dents. En fait, les partis
institutionnels n’ont pas envie de grands mouvements populaires qui
s’émanciperaient de leurs tutelles, et il faut se souvenir que les
grandes avancées sociales, notamment en 36, ont été arrachées par la
lutte, et non par la volonté d’un gouvernement, fût-il de gauche........
voici un article de J.P. ACASOCA, qui explique trés bien les chimères en politique :
http://2ccr.unblog.fr/2012/01/16/revolutionnaire-ou-reformiste/