Il ne s’agit pas de théologie comparative mais d’une analyse de document par des gens, Musulmans ou non, qui connaissent certainement mieux la langue Arabe ancienne, ses origines, ses variantes, le contexte historique présumé de l’époque du Prophète que la majorité des gens. C’est la raison pour laquelle les responsables Yéménites les ont priés de venir travailler sur les textes concernés. Mais la suite de l’article va plus loin et est très intéressante, on y évoque aussi le point de vue de Musulmans engagés dans cette investigation...