« Je crois que la jeune femme n’a pas été poursuivie. »
Je ne pense pas que Loïc Sécher le souhaiterait. Je crois même qu’il lui a pardonné.
Dans cette déplorable histoire, l’unique fautif de l’injustice n’est pas l’affabulatrice mais l’institution judiciaire qui a condamné quelqu’un sur de simples affirmations mensongères sans chercher à vérifier quoi que ce soit.
Aujourd’hui, cette institution a beau jeu de mégoter le montant de l’indemnisation qui sera versée à partir de fonds publics...
Le jour où les compensations financières d’erreurs judiciaires seront décidées par des citoyens (et non par des magistrats) et seront ponctionnées DANS LA POCHE DES JUGES QUI SE SONT GROSSIEREMENT TROMPES, vous verrez qu’il y aura subitement beaucoup moins d’erreurs judiciaires comme celle de Loïc Sécher.