Il n’était pas clair dans votre article que le délit devait être accompli au Maroc pour qu’un juge marocain puisse entamer des poursuites.
On est donc dans un cas où on pouvait se poser la question de la faculté des juges marocains à poursuivre des faits qui se sont déroulés à l’étranger, notamment les relations sexuelles hors mariage de madame Dati et par extension, d’autres faits qui sont vraissemblablement délictueux au Maroc tel que des caricatures de leur supposé prophète ou un film peu élogieux à propos de celui ci.