Merci ZenZoe... Les ouvriers de chez Doux n’avaient, compte tenu du marché du travail dans le Cher, pas le choix...
Comme d’ailleurs ceux qui, hélas, fabriquent des canons à Bourges et qui vont bientôt être au chômage...
Pour référence, écoutez Couté qui en 1880 écrivait de « fondeur de canons »...
Le polétariat pour ne pas sombrer dans le lumpenprolétariat doit, d’abord, avoir le ventre plein !
C’est la condition sine qua non d’une réelle prise de conscience !