Le malaise de l’école reflète le malaise de la société.
Les parents ont été les anciens (bons ou mauvais...) élèves et le comportement n’évolue que très rarement.
Les « bons » élèves sont ceux qui ont une masse cérébrale très malléable et flexible...et on retrouve les anciens « bons » élèves exactement là où le système les attend : aux postes de contrôle.
Comment s’étonner dès lors, du malaise généralisé.
Dans ce système on ne « fabrique » pas des indvidus mais des clones et des robotoïdes.
Et ceux qui s’écartent de la voie sont impitoyablement jetés dans les fossés sans filet.