Les lendemains d’une soirée bien arrosée sont systèmatiquement penibles, l’alcool liant l’eau et provoquant ainsi une déshydratation. Le foie et l’estomac accusent le coup de façon très désagréable. Les lendemains d’une soirée « pétard » sont bien plus doux, la preuve d’une nette différence de nocivité.