Les constructeurs ne font que profiter d’un contexte politique trop ouvert aux circulations des marchandises. La faute en incombe totalement à nos « élites » pas aux patrons dont le rôle est de coller aux conditions des marchés.
Quand ils nous ont « vendu » le marché commun européen (qui ne s’appelait pas encore CEE) c’était soit-disant pour remplacer la préférence nationale par la « préférence européenne ».
Ils nous ont bien eu !