J’ignorais ce fait divers.
On n’en parle pas. Curieux , comme tu dis...
Mais quand on va en parler ce sera un enfant qui aura glissé en courant sur un bord de trottoir.
J’ai commencé en étant tellement heureuse en lisant ces vers magnifiques de Hugo sur l’enfant Grec.Mais je ne savais pas ce qui suivait.
Quelle honte,quel désespoir, quelle horreur de se dire tous les jours : « nous sommes en dictature.le fascisme s’installe chez nous. et beaucoup ne le voient pas. » (ca change quand même)
je t’embrasse très fort. Désespérée et colère comme toi.