Article très intéressant en effet.Cependant, je pense que les conclusions tirées sont un peu hâtives.
Une des difficultés du web 2.0 est qu’il représente plus une nouvelle approche du web qu’un nouveau produit. A ce titre, il est difficilement commercialisable en tant que tel.
Cependant, si on le pense plus comme un outil, je pense qu’il offre des possibilités de commercialisations prodigieuses. D’une part sur le volume créé (la rémunération de la publicité répond directement au volume généré), mais surtout sur la qualification de l’utilisateur du site web.
La clé de voûte des futurs modèles économiques des sites du web 2.0 réside en effet dans la possibilité de cibler au plus précis les attentes et les besoins des internautes, et de leur proposer par conséquent des produits adéquats.
Une base de donnée ainsi qualifiée - sur les goûts, les habitudes de consommation, les affinités -, peut se révéler très profitable d’un point de vue commercial. Les annonceurs s’intéressent de très près à ces nouvelles fonctionnalités.
Toujours est il qu’on est encore loin d’avoir trouvé la clé d’un modèle économique viable pour les sites dits communautaires ou participatif. Et je suis bien placé pour en parler, puisque je m’occupe de cafebabel.com, le premier journal participatif européen, traduit en 7 langues. (www.cafebabel.com)
En tous cas, discussion très intéressante...
Cependant, tout cela est plus facile à dire qu’à faire, car pour pouvoir générer un contenu de grande qualité