Abou, à propos du coq
Le lion était déjà pris par les anglais !
L’aigle par les américains !.
Le coq après tout pouvait convenir.
Certains pouvaient y voir un réveille matin, d’autres un de ces amoureux compulsif, auquel certains dans ce pays, aiment à qu’on les compare.
Sans parler de cette façon de toiser les autres, en vertu de ces plumes au cul, et de son bec acéré, dont les vers de terre ont appris à se méfier.
Pour ma part, tant qu’à parler d’un animal dont on se moque
J’aurais préféré l’âne, que je préfère cent fois à ces coursiers, toujours pressés
Qui vous toisent de haut en hérissant.
L’âne est un modèle d’intelligence, qui cache son jeu, ne joue pas au malin, mais a le pied solide, et peut vivre très longtemps, bien que vivant en milieu aride.
Je verrais très bien Marianne assise dessus !