Sinon, par rapport a ce que vous dites sur la repentance, je crois que je ne tombe pas la dedans en parlant plutôt de reconnaissance, et en soulignant le fait que la reconnaissance est réciproque : elle suppose des actes forts des deux cotes. C’est comme le salut asiatique que je mettais en illustration du billet : dans la reconnaissance chacun salue l’autre avec respect et humilité, alors que dans la repentance un seul salue l’autre. La reconnaissance ne rabaisse personne par rapport a l’autre alors que la repentance rabaisse l’un des deux de manière totalement injustifiée et immorale (une relation éthique étant toujours réciproque, sinon c’est une relation de maitre a esclave).