Super ! On y est ! Dommage que les odeurs ne puissent encore se transmettre sur le t’ernet, ça manque au réussi du tableau, encore que le remugle puissant du silure mort au chapitre 1, je crois bien l’avoir dans les narines, là... J’attends impatiemment la suite, avec force clichés pris, bien sûr, sur le vif ! Un Digoinnais.