Le rapport entre chômage et inflation
permets de créer un maximum de profits, même si c’est au détriment
de l’intérêt général comme de nos jours.
Par la baisse du chômage,
protectionnisme de ses secteurs d’activités et créations d’emploi,
on augmente l’inflation, la hausse des prix de consommation. Puis on
indexe l’inflation avec sa hausse des prix sur les salaires. Comme
ça, on augmente et on conserve son pouvoir d’achat par le travail
tout en combattant le chômage, de manière à étendre ce mécanisme
sur la société.
Mais les banques centrales comme la
BCE, qui créent de la monnaie (auparavant national) par des choix
économiques, ont fait le choix de lutter contre l’inflation, pour
baisser les prix uniquement.
La lutte contre l’inflation va
augmenter le chômage, car ce ne sont pas les marges bénéficiares
des multinationales qui vont baisser mais les droits ou coûts
sociaux des travailleurs nationaux, ce qui va inciter les entreprises
à délocaliser pour garder leurs profits.
Cependant les prix augmentent et les
salaires ne sont pas indexés sur l’inflation les prix de
consommation, ce qui accroît de nouveau les profits des riches et
des actionnaires des banques et des multinationales.