Aïe ! Je n’ai pas déposé mon commentaire où je voulais le faire ! Je le re-dépose donc là où c’était prévu, à la suite du bon article de Gilbert Spagnolo :
Il y a peu, dans un
vieux numéro de Paris Match je prenais connaissance d’un pari que deux amis
avaient fait à l’école. J’ai oublié si c’était à la Fac, au lycée ou à l’école
maternelle, mais je n’ai pas oublié le contenu du pari : "Je serai un jour
Président de la République, tu verras. Non, tu verras, ce sera moi qui y
parviendrai avant toi« .
Elle s’appelait Ségolène et il s’appelait
François. Ils sont restés longtemps amis, à concourir dans l’amitié pour gagner
le pari. Elle a presque réussi la première mais c’est lui qui, un peu plus
tard, l’a emporté en finale.
Je m’étonne qu’on
s’étonne qu’il ait parfois l’air d’un enfant qui fait des caprices, et qui
change souvent le contenu de ces caprices.
Je précise toutefois que
je le trouve moins insupportable que l’enfant capricieux qui l’a précédé au même
endroit. Mais pour combien de temps encore ?