L’auteur nous joue à merveille ce qu’il reproche à ses prétendus détracteurs : amalgame, confusion, procès d’intentions en rafale, pinaillage sur la sémantique...
Et un petit coup de victimisation et de « on essaie de me bâillonner donc j’ai raison ». Le discours du parano qui explique que les vrais fous ce sont les gardes malades...
Ce genre de personne tue la liberté d’expression en la rendant ridicule et fait le jeu des vrais conspirateurs (à se demander si ce n’est pas l’objectif ...)
En être réduit à publier sur Avox où l’on nous annonce tous les ans : la fin de l’Euro, le krach financier mondial, la preuve ultime sur le 11sept sans oublier qu’on n’a pas marché sur la Lune, c’est déjà révélateur en soi.