Je m’étonne que l’on s’étonne des pratiques quasi mafieuses des parlementaires français. Pour les pratiquer d’assez prêts, ils sont surtout à la recherche d’une sorte de notoriété ou de postérité comme laisser son nom à une loi. Ça fait bien. Le député Bapt n’échappe pas à la règle. Que ce soit au profit de GSK, de Sanofi ou d’autres, n’oublions pas que les élus ont tout intérêt à conserver des entreprises sur leur territoire. Pour l’exemple de Sanofi, il est évident que Baopt a été approcher pour se taire et diriger ses attaques contre d’autres laboratoires comme Servier, Pfizer, Novartis ou Roche. Probablement en échange d’une bonne enveloppe ou d’un fauteuil dans un conseil d’administration. Par ailleurs l’auteur de l’article met en cause le lobbying. C’est une évidence et même si la gauche souhaite voir dehors les lobbyistes, ils reviendront par la fenêtre.